Test de grossess maisonTest de grossesse maison : le test de l'eau de javel

Test de grossesse maison : le test de l’eau de javel

Les tests de grossesse sont un outil indispensable pour les femmes souhaitant confirmer une grossesse. Avec les avancées technologiques, il existe aujourd’hui une variété de méthodes, allant des tests faits maison traditionnels aux tests urinaires et sanguins modernes.

Fonctionnement du test de grossesse à l’eau de javel

Les tests de grossesse à base d’eau de Javel sont une méthode traditionnelle mais potentiellement nocive. Il suffirait de « prélever un peu d’urine dans un contenant, puis d’y verser deux cuillères à soupe d’eau de Javel. Si vous êtes enceinte, il se produira une réaction entre la javel et l’urine : de la mousse devrait apparaître, venant ainsi confirmer la grossesse. » L’eau de Javel est un produit chimique irritant qui peut brûler la peau et les yeux en cas de contact. Il est donc important de bien se laver les mains après manipulation.

Les autres méthodes de grand-mère pour détecter une grossesse

Avant l’arrivée des tests urinaires modernes, les femmes avaient d’autres moyens pour identifier une grossesse. Elles utilisaient notamment des tests faits maison fabriqués à base de produits naturels (vinaigre blanc, huile, sel) ou chimiques (eau de Javel). Certains de ces remèdes de grand-mère, comme les tests au sucre, au gros sel ou au bicarbonate de soude, circulent encore sur les réseaux sociaux.

Néanmoins, leur fiabilité n’a jamais été démontrée scientifiquement. Sur les forums, ces dispositifs faits maison sont parfois mis en avant. Néanmoins, ces méthodes de grand-mère peuvent être dangereuses, en particulier lorsque l’on utilise des produits nocifs comme l’eau de Javel.

Miser sur la fiabilité des tests de grossesse commerciaux

De nos jours, les tests de grossesse urinaires en vente libre offrent une alternative pratique et surtout fiable aux méthodes traditionnelles. Selon les fabricants, ces dispositifs disponibles en pharmacie ou en grande surface comme les tests de grossesse Action affichent un taux de fiabilité supérieur à 99%. Ils permettent de détecter rapidement et facilement la présence de l’hormone de grossesse, la gonadotrophine chorionique (hCG), dans les urines.

Le résultat s’affiche généralement sous forme de symboles plus (+) ou moins (-) qui indiquent respectivement une grossesse ou non. Pour les femmes en parcours de maternité, il est essentiel de connaître ces options fiables pour confirmer une grossesse de manière précoce.

Quand faire un test de grossesse ?

Une personne est représentée assise sur des toilettes avec des sous-vêtements descendus jusqu'aux chevilles, ressemblant à un brouillon automobile dans un croquis inachevé. Un rouleau de papier toilette est posé au sol à proximité.
Source : Shutterstock – Par VGstockstudio

Pour optimiser la fiabilité du résultat, il est préférable de réaliser un test de grossesse après la date présumée des règles. En effet, attendre un retard de règles d’au moins un jour permet de s’assurer d’un taux de Beta-HCG suffisant pour être détecté dans les urines. Patienter quelques jours supplémentaires augmente encore les chances d’obtenir un résultat fiable, positif ou négatif.

Toutefois, si le test est négatif malgré un retard de règles persistant et/ou des symptômes de grossesse, il est recommandé de le renouveler ultérieurement. Un avis médical peut également être sollicité pour effectuer un dosage sanguin de Beta-HCG ou discuter d’autres causes possibles à ces signes.

En cas de rapport sexuel non protégé pendant la période d’ovulation, il est possible de réaliser un test de grossesse environ 3 semaines après ce rapport à risque. Il est en effet nécessaire de laisser le temps à une éventuelle fécondation de se produire et à l’hormone Beta-HCG d’être sécrétée en quantité suffisante pour être détectable.

Refaire un test une semaine plus tard en cas de résultat négatif reste toutefois prudent. Un suivi médical est aussi envisageable pour mettre en place un dépistage sanguin et discuter de la conduite à tenir en fonction du résultat et du contexte.

Cindy
À 35 ans, mariée et actuellement en parcours PMA depuis deux ans, je connais personnellement les montagnes russes émotionnelles et les incertitudes qui peuvent accompagner le désir de devenir parent.
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